Bayou dans le ruisseau c’est encore la faute à Rousseau ! Et une première journée sans défilé ni cornemuse !

Heureusement que la peine de mort n’existe plus ! Merci Robert Badinter et François Mitterrand. Quarante ans après. La grande purge continue à la gauche de la gauche. Une vraie conduite à l’anglaise avec volant à tribord et conduite à bâbord. Ils ne sont vraiment pas gauches pour se balancer des vacheries et saloperies à la face. Et comme souvent la verte Sandrine Rousseau a utilisé sa baguette de cheffe d’orchestre pour stigmatiser cette fois-ci l’attitude de son propre camarade de club, Julien Bayou, le secrétaire national d’EELV, himself. My god. A ne pas confondre avec François Bayrou. Les talibanes plus féministes qu’écolos n’y vont pas avec le dos de la cuillère pour s’en prendre aux odieux diables. Le chef de file des Verts et nouveau député parisien de la NUPES se trouve à son tour dans l’oeil du cyclone avec le nouvel ouragan soufflé par « Sandrine ». Bayou dans le ruisseau c’est encore la faute à Rousseau !

C’est quand même curieux que les grosses tempêtes et catastrophes ont presque toutes un prénom du beau sexe et se conjuguent au féminin. Quel affreux sexisme dont font preuve les spécialistes de la météo. C’est étonnant qu’ils n’aient pas encore été accusés et réduits d’une façon définitive au silence. Il est grand temps que Sandrine et ses copines fassent le…ménage (je vais aussi en prendre pour mon grade d’utiliser ce gros mot sexiste) ! Un malheur n’arrivant jamais seul dans ces mauvais films « Les Insoumis n’aiment pas les…insoumises », ou « Après les mains baladeuses de Coquerel, la main courante de l’ex-compagne du rouquin Adrien », un autre député de la NUPES de la Seine-Saint-Denis serait aussi dans le viseur des « tatas flingueuses » dans ces sales histoires d’agressions sexuelles et conjugales. C’est une véritable épidémie. A quand le retour de nos plus grands spécialistes sur les épidémies sur les plateaux de télévision comme au mauvais temps de la pandémie ?

Si ça sent un peu le…roussi à plus ou moins long terme pour l’ex-numéro deux de la France insoumise, Adrien Quattenens (le parquet de Lille vient d’ouvrir une enquête préliminaire) la situation n’est guère plus plus réjouissante pour Julien Bayou, accusé à son tour de violences congugales sur son ex-compagne dont il est séparé. Cette nouvelle affaire de règlements de comptes peut-être internes au sein du parti circulait à mots couverts dans l’espace public au début de l’été avant ensuite être planquée sous le tapis. Elle était passée sous les radars avant de resurgir hier… »grâce » à la sortie de l’affaire Quattenens et à l’élue verte de la capitale, qui, sans que l’on ne lui demande rien, a reçu la plaignante (qui selon elle aurait fait une tentative de suicide) et une fois encore joué le rôle de procureuse générale et a sorti la sulfateuse. C’est la pythie la Sandrine. Elle reçevrait des confidences de brutalités ou gestes déplacés sans en avertir la justice ? Elle n’écarte pas la peine capitale-le banissement politique-pour l’intéressé lors du congrès national d’EELV en décembre prochain même, si elle emploie néanmoins une formule sportive en langue anglaise pour la circonstance: « On verra, step by step« . Une nouvelle version du célèbre « wait and see ». On peut lui faire confiance à Sandrine, c’est une sportive de haut niveau et ça ne doit pas trop l’inquiéter d’avaler les hommes marche par marche…

C’est beaucoup plus drôle en dépit des circonstances. On en a à priori fini hier avec le marathon interminable de dix jours du cercueil de la reine d’Angeterre qui désormais repose en paix aux côtés de sa soeur, Margaret, de son père le roi Georges VI et de son époux, le prince Philip dans la chapelle de Windsor. Et il n’est pas prévu que Elizabeth II ressorte de son tombeau royal. Peut-être que son fils, le roi Charles III, fera preuve d’une grande générosité posthume en lui accordant la faveur de toujours profiter de la présence de son cornemusier chaque matin, à 9 heures, qui offiçiait devant sa fenêtre pour la réveiller. C’est classe un réveil à la cornemuse, même si là cela pourrait s’apparenter à un emploi fictif pour des raisons évidentes. Mais cette présence aurait néanmoins le grand mérite de conserver un emploi…au 17 e cornemusier de son règne de 70 ans. Ca fait une belle moyenne de longévité pour chacun de ces réveils-matins originaux ! Alors que dans le même temps, le frère du nouveau roi, le « pestiféré » Andrew, privé de son uniforme et de ses médailles militaires, et ancien « rejeton » royal préféré de sa majesté avant quelques frasques sexuelles (décidément! ) a eu pour…seul héritage de sa maman que deux de ses corgis préférés, Muick et Sandy qui, hier, en soirée, ont participé en partie aux cérémonies à côté de leur nouveau maître au château de Windsor. Un double présent princier ! Royal…Mais est-ce vraiment un cadeau ? Pas sûr !

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