La France au régime « Comme j’aime la CGT », un gros grain malouin et dites-le avec des fleurs à Evreux !

S’il n’en reste qu’un ce sera peut-être celui-là: le site Total de Gonfreville-l’Orcher, une ville dont « Paulo » Lecoq a été le maire communiste avant de retrouver son écharpe de député ! La compétition s’annonce serrée entre ses irréductibles camarades normands, toujours à la pointe de l’action revendicative et bloquante et leurs confrères et amis du dépôt de Feyzin, près de Lyon, le maillon clé de la distribution des carburants en Régions Bourgogne-Franche-Comté et Auvergne-Rhône-Alpes. Lequel des deux ouvrira le dernier les vannes ? Quelle belle finale en perspectible ! Le suspense est forcément Total entre les léopards normands et les  » lions » rhodaniens. Que le meilleur (façon de parler) gagne.

En attendant le régime « Comme j’aime la CGT » continue encore de produire ses néfastes effets, même s’ils sont heureusement à la baisse. Ou comment pour des millions de nos compatriotes perdre du poids en prenant ses jambes à son cou ou son vélo, électrique ou pas, pour mieux respirer les particules fines des voitures avec à leur bord des automobilistes plus malins et patients que d’autres!

C’est un autre grain médiatique qui s’abat depuis quelques jours avec des critiques de plus en plus pressantes sur la « Route du Rhum » en partance de Saint-Malo au début du mois prochain. Un « big » événement au pays des corsaires et de son plus célèbre « skipper » Surcouf, le corsaire du Roi Louis XIV qui fit à son époque trembler les mers du globe à partir de son port d’attache.

Tellement gros qu’à lire des titres de la presse nationale et régionale cette course aurait « chaviré dans le sport bizness », en s’éloignant de ses origines. On est en effet passé du lancement, en 1978, de 36 bateaux à 138 cette année dont quelques multicoques supersoniques, les « Ultim ». Qui, en six-sept jours, vont traverser l’Atlantique pour rejoindre la Guadeloupe, Région partenaire de la course. Oh, mon bateau. La Route du Rhum 2022 avec aussi son village de 73.000 mètres carrés ouvert sur deux semaines. Même au niveau local, cette démesure semble en saouler plus d’un. Des voix s’élèvent pour dénoncer cette « soif du fric ». Ils auraient le sentiment d’être un peu menés en bateau. On attend à partir de la semaine prochaine plus de 2 millions de visiteurs au pied des remparts de la vieille ville. Beaucoup plus proche que la transat concurrente du Havre où le coeur de l’événement est plus distant des commerces de centre-ville.

Je ne vais pas me faire que des amis dans le port normand cher aussi à mon coeur également d’ancien…vendéen et sablais, berceau du « Vendée-Globe » ! Coïncidence, je suis passé par ces trois capitales mondiales, n’ayant pas peur des mots, points de départ de la compétition internationale nautique.

C’est fort de café comme on dirait du côté havrais « Chez Doudou », qui n’est pas encore un bar de la ville à ma connaissance ! Allez: une Manche partout entre la Normandie et la Bretagne ! Balles neuves. Qui c’est les meilleurs, évidemment c’est les verres (de rhum) arrangé ou pas, que l’on chantait dans la France du football des années soixante-dix et quatre-vingts où les vrais « verts » plumaient les canaris nantais.

Ce n’est pas encore un port, mais la ville « d’Evreux-sur-Iton » méritait bien aujourd’hui un petit focus. Certes plus modeste mais tout aussi sincère avec la dé…marche des jardiniers de la ville qui forcément avec l’accord de la municipalité viennent de réaliser un magnifique parterre floral sur les marches du « palais » aux couleurs de saison. Un bouquet de félicitations peut leur être décerné pour cette décoration du plus bel effet. Comme quoi il n’y a pas que des éclats de voix désagréables et échanges de noms d’oiseaux entre élus et principalement entre son maire et ses opposants. La « Cité-jolie », en cette circonstance fleurie agrémentée de quelques citrouilles et potirons, mérite bien son nom…C’est aussi celle des « Cent ponts ». Il n’y en a pas autant dans les deux ports normand et breton. Pour rire, il faut souhaiter que certains ne vont pas se balancer lesdites citrouilles sur les marches de l’hôtel de ville pour tenter de refaire une scène de « La grande vadrouille »...La grande vadrouille, elle est pour les « voileux » de la « Route du Rhum ». A déguster sans modération en dépit des interrogations légitimes soulevées ici et là…

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