On aimerait tant que cette première bougie ne soit pas suivie par d’autres petite sœurs. Ce c’est pas en effet pas le genre d’anniversaires que l’on souhaite prolonger dans le temps! Mais le match entre David et Goliath à savoir entre l’Ukraine et la Russie n’a toujours pas livré son dramatique verdict. Et le plus faible n’en finit plus de résister crânement.
Avec une armée russe qui triche forcément sur le terrain puisque beaucoup plus nombreuse que son adversaire. Ses « joueurs » blessés et morts elle n’en que faire puisqu’elle les remplace sans la moindre vergogne sur ordre de son « sélectionneur » plus autocrate que jamais. Peu importe le nombre de ses morts au combat. Il n’en a que faire. Il aurait le double de pertes que son adversaire, soit une estimation de 200.000 morts. Un « détail de l’histoire « sans la moindre importance pour Poutine. La chair à canon fonctionne à pleins tubes de missiles et d’armes lourdes.
Les ukrainiens galvanisés de leur côté par leur président charismatique et plus comptable en pertes humaines plient parfois mais ne rompent pas. Il est solide le roseau jaune et bleu ! Jusqu’à quand ce conflit ayant quelques horribles similitudes avec les boucheries des tranchées de la Grande guerre de 14-18 ? C’était un autre siècle mais les ressemblances sont frappantes et effrayantes.
Le scénario le plus probable reste aujourd’hui celui de la poursuite de la guerre d’usure. L’hypothèse d’un élargissement du conflit et de l’effondrement d’un des deux camps ne semble pas envisageable. Et celui d’une négociation pas davantage avec des compromis pour l’instant bien introuvables.
Le monde libre n’a pas d’autre alternative à ce jour que de rester uni et ferme derrière le peuple ukrainien et ses dirigeants. Encore un quoiqu’il en coûte mais dans une toute autre version ! Même si elle pèse très lourd aussi en terme économique. Pour mettre fin à une barbarie sans nom.
PS: La crise n’en finit plus au sein de la Fédération française de football ! Et une fois encore son président Noël Le Graët se retrouve en première ligne. Non pas pour s’être rendu coupable de propos ou gestes déplacés sur des joueuses du maillot frappé du…coq mais pour ne pas avoir frappé du poing sur la table et « replacé » voire remplacé sa sélectionneuse Corinne Diacre, de plus en plus contestée à la tête de l’équipe de France féminine depuis six ans en dépit de résultants plus que contrastés. Avec des échecs répétés dans les principaux championnats.
Ça fait déjà un long bail, « doux Jésus » que le courant ne passe plus entre entre Corinne Diacre et plusieurs de ses joueuses dont l’emblématique capitaine Wendie Renard . La tour de contrôle du onze tricolore, la plus capée avec ses cent-quarante deux sélections, vient d’officialiser sa décision de quitter définitivement la piste à son tour. Elle n’en peut plus. Pas question pour elle « pour sa santé mentale » de rester et de disputer la prochaine coupe du monde prévue en juillet prochain » Deux de ses partenaires de l’attaque et non des moindres, Diani et Katoto, deux autres de ses stars, ont décidé de quitter elles aussi aussi le navire et ses voies d’eau, alors qu’elles sont loin d’avoir atteint l’âge de la retraite ! Sauve qui peut…Les prochains matchs, ce sera sans elles à moins que la patronne jugée trop autoritaire, soit invitée à prendre la porte !
Il serait grand temps que le commandant de bord de la 3 F dégage lui aussi, en emmenant avec lui sa sélectionneuse très controversée pour sa façon de gérer son groupe, avant qu’il ne soit trop tard…Que de talents gâchés ! Et comme trop souvent la fédération botte en touche ! Jusqu’à quand ?