La Toussaint, c’est aujourd’hui la fête de tous les saints…Celle des « cin…glées » aurait une certaine tendance à se reproduire à vitesse accélérée. Notamment à travers l’idiotie, un doux euphémisme, de certaines passonnarias et « fadas » de la cause de l’écologie perdue. Le militantisme oui, mais le fanatisme exacerbé beaucoup moins. Ca va mal finir toutes ces actions perpétrées surtout par des femmes, probablement plus courageuses il est vrai dans la démence que leurs camarades masculins qui préfèrent les envoyer en première ligne et jouer les premiers rôles.
Dernier témoignage de cette folie contagieuse: ça se passait à la nuit tombée, hier, sur l’un des axes les plus fréquentés de la capitale, le pont de Sèvres, à fort trafic en soirée où…une dizaine de militantes protégées par leur seule chasuble orange fluorescent, ont bloqué pendant près de trois quarts d’heure la circulation, obligeant, également au péril de leur vie, des automobilistes à un arrêt contraint. Ca devient très mode cette obtruction de la libre circulation. Et là les camarades cégétistes peuvent plaider non coupables. Les tensions sont très vite montées d’un cran entre les manifestantes (en majorité) allongées ou assises sur la chaussée et leurs victimes au fil des minutes de plus en exaspérées et obligées avant l’intervention de la police de tenter de les expulser manu militari. A juste titre. Jusqu’où ça va aller ?
Les forces de police ou gendarmerie n’ont-elles pas aussi autre chose à faire en ces temps tourmentés que d’intervenir pour calmer un groupuscule de militantes radicalisées et prêtes à aller jusqu’au bout de leur dérive ! C’est sûr que ce genre d’action va faire avancer la cause de la lutte contre le réchauffement climatique.
Comme celle de consoeurs allemandes qui, dans un nouveau musée, une cible désormais très prisée par ces nouvelles amatrices d’art, ont eu la riche idée de se coller à une oeuvre d’art avec de la glue ! Quelle imagination pour faire le buzz. La preuve, ça marche…à pas accélérés comme ceux d’une députée verte, Lise Belluco, pas la plus connue, qui sceinte de son écharpe tricolore et les bras en l’air, a provoqué dans les Deux-Sèvres les forces de l’ordre en tentant de forcer un cordon de CRS pour aller plus en avant jusqu’à la bassine protégée. Avec des caméras braquées sur elle surtout pour immortaliser d’éventuelles agressions policières. « La République, c’est moi », aurait-elle pu brailler en paraphrasant Jean-Luc Mélenchon. Quel bel exemple que celui d’une élue de la République, qui brave les interdits d’une manifestation précisément interdite avec son écharpe bien en vue pour bien montrer qu’elle n’est pas n’importe qui ! Courageuse, certes, mais avec des limites tout de même.
La même « manife » de Sainte-Soline, au cours de laquelle le député européen et ancien candidat à la présidentielle, Yannick Jadot, s’est fait copieusement hué par une partie des militants activistes et a vu sa voiture taguée avec une inscription chaleureuse « crevure ».
L’eurodéputé, pris à partie par une « pétroleuse » revendiquant son positionnement d’ultra gauche qui n’a pas non plus gôuté que son interlocuteur jugé beaucoup trop modéré l’appelle « mademoiselle ». Quelle injure suprême. Bonjour l’ambiance. Et où une autre élue, Sandrine Rousseau, a rappelé son affection pour la « désobéissance » mais sans violence. On est rassuré. Sinon celle souvent de ses propos chocs destinés surtout à faire parler de sa petite personne. Elle en rafffole. Et là elle réussit à tout…déconstruire avec une efficacité maximale. Son melon commence à ressembler à une très grosse citrouille de circonstance à cette période pour faire hélas une soupe de plus en plus indigeste…Mais tout espoir n’est pas…totalement perdu. Pour preuve l’attitude moins extrémiste de la symbolique jeune héroïne…allumette suédoise, Greta Thunberg, une figure internationale défenseuse de l’environnement ayant osé d’être plus mesurée sur le nucléaire ! Tout peut arriver et même le meilleur…