« Noël au balcon, Pâques Omicron »….C’est la vilaine blague-dicton à la mode à quelques heures de la nuit de la Saint-Sylvestre. Ça se mange sans faim. On est content de la voir s’éloigner cette seconde année Covid-19. On est quand même bientôt en l’an 22 ! Je hais les prolongations. Principalement en sport. Un bis…cuit pas très croustillant. Et de très mauvais goût. Je ne vous ressortirai pas le plat pour vous ôter l’appétit. D’ailleurs pour cause de déplacement familial j’ai fait la grève hier de toute forme d’info télévisée et radiophonique. J’en conviens que c’est limite faute professionnelle. Je me retrouve donc dans l’impossibilité de savoir si l’on a encore battu des records au niveau des cas de contaminations. Je vous supplie chers amis lecteurs de m’envoyer un SMS au plus vite afin de me tenir informé. Sinon la journée risque d’être très longue. Je ne pourrai même pas écouter les vœux du président. SOS détresse…pour un empêchement impardonnable. À vos souhaits Monsieur le Président debout…Défense d’éternuer même en position assise obligatoire autour de la table.
J’aurai évidemment une tendresse toute particulière pour tous mes candidats à la présidentielle qui, trêve des confiseurs ou « confineurs » oblige, s’octroient quelques jours de repos bien mérités. Mais à partir de lundi ça va être la grande régalade.
En attendant c’est leur dernière fête de fin d’année ordinaire pour cinq ans et plus si affinités. L’année prochaine ce sera leur tour , enfin seulement pour l’un d’entre eux avec peut-être même un redoublement de classe, de se coltiner avec la réalité du moment. Il va sans dire que cette hypothèse se conjugue aussi au féminin.
Il n’est pas sûr que l’on ait beaucoup d’images privées de nos prétendants autour de la table du 31. C’est pourtant important de savoir qui viendra dîner ce soir chez Jean-Luc, Marine, Emmanuel, Yannick, Éric ou Valérie. A moins qu’ils ne jouent à l’extérieur avec une jauge très limitée.
A propos de V(I)P j’ai appris dans les gazettes les mieux informées et sérieuses qu’elle fréquentait assidûment, lorsqu’elle allait sur ses terres secondaires de la Baule, célèbre station balnéaire de la côte Atlantique, le pendant du Touquet, version Pas-de-Calais, autre villégiature très chic et présidentielle, son presque voisin, le patron des patrons, Geoffroy Roux de Bézieux qui y possède un superbe manoir.
A quand un selfie de ce couple présidentiel effectuant un jogging sur la plage ? Ça nous rajeunirait des images datant maintenant avec ces deux meilleurs ennemis sur cette même belle étendue océanique , bien séparés toutefois au niveau de l’allonge de la foulée, l’ex Premier ministre, Dominique de Villepin et son ministre qui deviendra plus tard, son envol réussi, « Sarko one ».
L’histoire nous a en effet appris qu’il n’y a pas eu de « Sarko deux » à cause du président trop « normal » le pape François de Tulle.
Reste que vis-à-vis d’un certain l’électorat, le président du MEDEF aux côtés de Valérie, au niveau des photos ça passe un peu moins crème, autre expression à la mode. Comme le très vulgaire « kiffer la meuf ».
Et de toute façon la présidente francilienne préfère lifter et monter au filet comme un certain Emmanuel Macron…qui partage aussi la pratique du tennis. On peut être sûr qu’ils vont partager quelques bonnes balles. Sifflantes. Retour à l’envoyeur! Balles neuves pour l’an nouveau.
Valérie, ne change surtout pas, un beau cliché sur Paris-Match, canne à la pêche à la mouche au bord d’une rivière en Corrèze sur les terres d’élection de son mentor en politique le Grand Jacques, c’est beaucoup plus porteur! Même si ça manque, là aussi, de naturel dans ce décor bucolique où la nature explose ! Comme certains chiffres…
Vraiment coucou les amis et à l’année prochaine pour de nouvelles aventures. Tous mes vœux les plus sincères vous accompagnent. Surtout bien sûr celui d’être toujours fidèle à mon rendez-vous au quotidien. Le reste n’est vraiment que secondaire…Je vous embrasse chaleureusement sans la moindre barrière. Surtout les filles…