La « belle Anne » toujours dans l’oeil du cyclone ! Avec cette fois-ci dans le viseur son intention de faire grimper la hausse de la taxe foncière de 52 % à Paris. Elle est déjà championne de France avant même la fin du championnat. Pour la « Champions Ligue », c’est tout une autre paire de manche, car le sort (mauvais) a offert à son club préféré comme prochain adversaire le Bayern de Munich. Un très gros os pour le PSG comme pour…les propriétaires parisiens avertis par un seul tweet de « Notre-Drame de Paris » Anne Hidalgo, de faire exploser les compteurs qui ne sont pas « Linky », dans la nuit de lundi à matin. Une annonce couperet alors que la même élue, en mars dernier, avait promis qu’elle n’augmenterait pas les impôts. Ce que confirment plusieurs « terribles »vidéos. Même à Marseille, colorée aussi au pastis de la couleur rose socialiste ville considérée comme l’une des plus pauvres de France, l’augmentation se limite à 13 %.
Ce n’est pas de sa faute, bien sûr, mais celle forcément du gouvernement qui n’en fait pas assez, dénonce-t-elle pour aider les collectivités mises à l’os, faute de l’explosion du coût de l’énergie. Et sa difficulté à financer la transition écologique qu’elle juge pourtant nécessaire. Surtout avec ses amis « verts » de la capitale qui l’ont prise en otage ! Pieds et mains liées avec une situation financière jugée »catastrophique » et pas seulement par ses opposants politiques et un endettement colossal passé de 3 à 8 milliards d’euros sous sa gouvernance. Un gouffre élargi de façon considérable par des dépenses et une gestion administrative calamiteuse. C’est aussi la faute de l’Etat-quelle que soit sa couleur politique-si la Ville de Paris arrose de façon démentielle un tissu associatif aux objectifs douteux, pour certaines de ces heureuses bénéficiaires grassement subventionnées. Un scandale tout comme celui des effectifs de son administration qui ne cessent d’augmenter. Rien pour exemple significatif que 300 personnes au service communication. Là, il n’y a pas de souci. C’est toujours plus…Et par voie de conséquence, les « affreux » propriétaires vont casquer. Lourdement. Même s’il faut aussi être honnête et admettre que les bases fiscales dans la capitale sont bien moindres que dans les principales métropoles de notre pays qui partagent ce même appétit à plumer les propriétaires. Mais ce n’est en rien une bonne raison ! Qui, en aucun cas, ne peut justifier une telle démesure dans la… »performance » inégalée. Il en est de même pour la saleté d’une ville-capitale qui au fil des années s’enfonce dans un affligeant dépotoir auquel participent activement ses propres habitants dont l’esprit civique ne cesse lui aussi de déraper dangereusement. La faute n’incombe pas en la circonstance qu’à la mairie.
C’est aussi une hausse mais dans un tout autre domaine et ton avec un nouveau bras de fer (comme en 2018) entre Rome et Paris. En l’occurrence, le gouvernement et l’Elysée n’ont que peu apprécié hier les remerciements très anticipés de leur homologue italien annonçant qu’un port français accueillerait le bâteau de migrants actuellement dans les eaux territoriales italiennes. Ah bon ! Comme lors de la dernière fois, la Corse se propose de recevoir sur son sol les passagers de l’Ocean Viking. Jusqu’à preuve du contraire, l’Ile de Beauté reste toujours sous pavillon français ! Ca commence bien les nouvelles relations entre le président Macron et celle qui vient d’arriver à la tête des affaires dans la botte. Evidemment très pressée par son opinion et ceux qui l’ont élue à renvoyer la « patate chaude » à son collègue dirigeant d’a-côté. Voilà qui va relancer le débat sur le « qu’il retourne en Afrique ».
Et là, le « même temps » risque là un gros coup de tempête du côté de la majorité présidentielle dont nombre de députés et ministres ont soutenu la « grande manipe » de la France insoumise dans les travées de l’hémicycle transformé en grand chapiteau de cirque. A tort, car si la nouvelle Première ministre italienne Giorgia Meloni persiste et signe, et si la France refuse d’accepter les naufragés, le pouvoir va être accusé de jouer sur les deux tableaux: l’humanisme à l’égard de ces populations en danger en mer et de l’autre, le cas échéant, de s’en laver les mains et de les laisser aux amis italiens que le droit international de la mer oblige à les recevoir. On imagine tout aisément la réaction d’une partie de nos compatriotes si le président Macron changeait subitement de bord en jouant les bons samaritains. Attention danger ! Il n’existe pas de réponse satisfaisante. La faute à qui ?