Quel surhomme le président de la Fédération internationale de football (FIFA) un dénommé Gianni Infantino d’origine italo-suisse. Il porte bien son nom. Il nous prend vraiment pour des enfants, voire plus sûrement pour des buses, celui qui, à l’époque, avait bien profité des déboires judiciaires et du carton rouge adressé à Michel Platini, l’ancien président de l’UEFA, son ancien patron, pourtant bien placé pour remplacer un autre helvétique, Sepp Blatter, à la tête du football mondial, en 2016.
Elle n’est pas belle sa citation du week-end précédant de quelques heures le lancement de la compétition au Qatar. Quel magnifique « politicien faux-cul » en lançant cette historique citation « aujourd’hui je me sens à la fois qatari, africain, arabe, gay, handicapé et travailleur migrant ». La totale. Celle-là, il fallait oser ! Quelle emphase émouvante devant rester dans les annales. Comme la cérémonie d’ouverture (que j’ai zappée) tout comme le premier match et cette affiche de rêve entre le pays organisateur et l’Equateur. Une daube farcie indigeste. Quelle Qatar…strophe ou vilain petit Qatar ! Avec déjà une première historique: la défaite de la nation hôte. Les rares images que j’ai pu voir de la cérémonie d’ouverture ne m’enthousiasment guère. Qu’ont été faire dans cette galère deux des invités de marque du comité organisateur, le champion du monde 98, Marcel Dessailly et l’acteur americain Morgan Freeman ? Bonjour tristesse. L’ambiance ne s’achète pas elle !
Et ce n’est qu’un début avec des tribunes essentiellement fréquentées par des supporters. « Mais elles sont où, mais elles sont où » les femmes qataries et les autres venues du monde entier où…si ce n’est « parquées » dans des zones bien déterminées et surtout très personnelles. Une ambiance particulièrement festive. Une nouvelle version de l’Hymne à la joie de Beethoven. Il faut être mieux être…sourd et aveugle. Avec aussi ces magniques tenues colorées dans les travées avec toutes ces supportrices de…noir vêtues. Une vraie « fashion week » qui pendant un mois va se prolonger dans les stades. Samba pour tout le monde. Une coupe du monde au Brésil, c’est tout de même plus glamour si l’on excepte tout de même son ancien président, même si son actuel est loin d’être un modèle inspirant !
Ce qui l’est plus assurément est bien ce ce qui se passe depuis des semaines en Iran où femmes et hommes se retrouvent par milliers au coude à coude dans les rues de Téhéran et des principales villes du pays de mollahs et ayatollahs enturbannés au péril de leur vie. Pour manifester contre un régime autocratique et religieux parmi les plus monstrueux de la planète. L’espoir fait vivre, même s’il y a encore beaucoup de chemin à parcourir pour se débarrasser de ces sinistres dirigeants, parmi les rares appuis encore du tsar rouge sang du Kremlin. Qui se ressemble s’assemble. Pour le pire. Avec le « timbré » intégral de la Corée du nord qui joue lui avec ses « joujoux » nucléaires !
Les barbus perses n’ont pas dû apprécié que les joueurs iraniens de la sélection présente à Doha refusent en signe de solidarité de chanter leur hymne national avant leur match contre l’Angleterre !
PS: La multiplication de faits divers odieux dont ont été victimes notamment deux adolescentes ces dernières semaines inspirent et pas forcément de la meilleure des façons des « pseudos » psychologues et journalistes qui s’interrogent sur le fait que ces crimes affreux et hélas répétitifs pourraient avoir un lien avec la crise du COVID qui aurait « déboussolé » de futurs criminels en puissance. Ben voyons. Encore un effort pour nos adeptes du complotisme à pleins tubes ! Qui eux ne méritent pas la moindre circonstance atténuante dans leur délire. Certains politiques et éditorialistes, curieusement, ne sont pas tombés à bras raccourcis sur l’auteur présumé du crime précédé du viol de sa pauvre petite victime de 14 ans qu’il n’avait jamais vue, semble-t-il, auparavant. Ca doit être moins porteur un jeune homme prénommé Romain, même déjà condamné dans le passé pour une agression sexuelle et père d’un nourrisson âgé d’un mois ! Et très accro à l’usage de stupéfiants et accessoirement à l’alcool.