« Où sont les femmes », doivent reprendre en choeur un « tube « de l’autre siècle les militants du parti des Républicains qui, au mois de décembre, devront se choisir le successeur de Christian Jacob. Une élection un peu pimentée par les casseroles que certains veulent accrocher aux basques, même s’il est niçois et favori de la compétition, du « petit » « Rico Ciotti, soutenu par le « grand » Laurent Wauquiez, que le député niçois voudrait voir tenir le premier rôle lors de la prochaine présidentielle. Les alliances sont prêtes pour cette belle union. Ils trouveront bien un maire pour les unir. Certainement pas l’ex-ami des deux, Christian Estrosi ! Un mariage pour tous en version LR, en quelque sorte. Voilà qui va faire plaisir à Christiane Taubira. A Rico le parti et Lolo le drapeau des Républicains en 2027. Pas l’ombre d’une femme candidate. Les « mâles » conquérants auraient-ils été échaudés par le piteux résultat du scrutin présidentiel. Tellement décevant, voire humiliant pour Valérie, la présidente de la Région francilienne, abandonnée sur les quais du RER dans une banlieue loin d’être versaillaise. Qui en l’occurrence n’a pas rimé avec l’ancien parti triomphant du RPR du « grand » Jacques Chirac. O temps béni, suspend ton vol…plané. Même si ça ne plane plus trop pour les couleurs de l’ancien parti gaulliste incarné par des chefs qui, à l’époque, savaient « cheffer » comme l’ancien Premier ministre et maire de Paris et son successeur à l’Elysée, Nicolas Sarkozy.
Tout l’inverse bien sûr de « Europe-Ecologie-les Vertes ». Tel est est le nouveau surnom du mouvement écolo-féministe. Plus féministe qu’écolo d’ailleurs. Six candidats sur le ligne de départ et autant de candidates ( les souris vertes qui couraient dans une herbe pas trop grasse) et d’inconnues du grand public. Six femmes prénommées Marine, Mélissa, Sophie, Hélène (où sont les garçons ?) Claire et Géraldine. Un « sextuor » magique avec une favorite, Marine Tondelier, la représentante de la ligne Bayou (pourtant victime d’une fatwa après les accusations dont il a été l’objet) qui, au final de ce premier tour de « qualifs » a recueilli sur son nom ou plutôt sur sa liste 45 % des suffrages. Elle devrait arriver logiquement à bon port. Il lui faudra néanmoins d’ici au 10 décembre prochain, date du congrès, tenter de défendre un parti « bienveillant et inclusif « susceptible, qui plus est, de prendre quelques distances avec la NUPES. Un point de friction entre plusieurs courants d’EELV dont celui de Yannick Jadot, opposé à une liste commune aux Européennes.
On ne peut pas dire que la candidate que soutenait l’ancien candidat à la présidentielle, Sophie Bussière, ait fait des miracles dans les urnes. Mais que dire alors de la championne « cornaquée » par Sandrine Rousseau prénommée Mélissa, le titre d’une jolie chanson de « Juju » Clerc, tellement adulé par ses fans du beau sexe…Quelle déculotée pour celle qui incarnait les…positions pas vraiment libertines et peu comparables avec celles d’une autre chanteuse, Mylène Farmer. Que je préfère vraiment à Sandrine. A bien des égards et pas seulement pour le son de sa voix…Vive les femmes mais pas celles qui privilégient davantage la stratégie du buzz et de la « tweetérisation » à trop forte dose, comme la Rousseau et non Larusso…une étoile un peu filante des studios et de la scène !
Le gazon n’a heureusement pas été maudit du côté de Doha et pas davantage de « Qatarstrophe » pour nos footballeurs qualifiés pour les huitièmes de finale dès le second match. Histoire pour « Dédé » Deschamps d’offrir la possibilité à ses joueurs cadres de souffler et de laisser les « coiffeurs » (les remplaçants du banc de touche) prendre un peu de temps de jeu sur la pelouse face aux tunisiens.
Une bonne chose de faite ou fête même si l’on a un peu tremblé après l’égalisation danoise. Avec une fois encore un courant alternatif de la superstar planétaire, Kylian Mbappé, qui, après une soixantaine de minutes contrastées, a fait parler la foudre à deux reprises. Notre seigneur-sauveur. Deux éclairs café/chocolat très choux pour un gâteau royal et des superlatifs tout aussi peut-être précipités comme ses dribles et ses courses, il est vrai fulgurantes, et ce titre inspiré aujourd’hui de « l’Equipe « : Le qualif Mbappé ». Bien vu au pays au pays de l’or noir et d’autres califes…Is very good de ne pas se prendre aussi les babouches dans le tapis !